Nom : Nergal
Prénom : Andrew
Surnom : N’y songez même pas
Age Réel : Plus de 3000 ans
Age physique : 25 ans
Sexualité: Exaltée
Race : Sang Pur
Clan : Le Clan Nergal
Emploi ou Fonction : Chef du Clan Nergal avec son frère.
Description physique :
Je possède de long cheveux d’un rouge si vif qu’on pourrait les croire imbibé de sang. Mes yeux sont d’un vert éclatant, semblable à de l’émeraude liquide mais ils peuvent prendre une couleur rubis lorsque la colère ou l’excitation m’envahissent. Mon visage n’est point dépourvu de charme et beaucoup auront succombé aux traits délicats qui le dessinent. Mon oreille gauche est garnie de nombreux anneaux en argent qui partent du lobe pour remonter tout le long du cartilage : il s’agit en faite d’entraves que je me suis posées moi-même pour limiter ma puissance, n’ayant que très rarement besoin de mes pleines capacités. Seul mon frère ou moi-même pouvont les faire sauter.
Il fut un temps où je portais une longue tunique de soie chinoise aux teintes brunes sur un pantalon sombre d’où pendaient des décorations flamboyantes. Mon bras gauche, qui me sert à tenir mon arme, était recouvert de protections en métal longuement travaillées. Un long drapé rouge passait sur mon épaule flottant dans le vent dans mon dos, rendant ma silhouette encore plus inquiétante. Ce fut sous ce jour là qu’on me connut sur les champs de bataille. A présent, ma tenue est quelque peu différente.
Toujours dans le style chinois, je porte une tunique très sophistiquée se fermant un peu à la manière d’un kimono, les manches s’élargissant grandement au niveau de mes poignets. Un peu de fourrure sur l’épaule droite vient rehausser cette tenue aux tons d’or. Une protection en cuir richement décorée recouvre mon poignet gauche remontant jusqu’à mon coude. Un bracelet de la même matière orne mon poignet droit. Un large col entoure mon cou alors que je laisse ma tenue ouverte sur une bonne partie de mon torse. Une ceinture enserre ma taille pour souligner mes courbes, les pans de ma tunique laissant percevoir un pantalon serré sombre par-dessus lequel je porte des bottes qui ne s’arrêtent qu’au dessus des mollets. Des chaines ornent également mes hanches, nombreux apparats y étant accrochés. Un collier semblable à celui de mon frère décore mon cou, une pierre aux reflets sanguins s’exhibant fièrement sur ma poitrine.
Description Morale :
Je suis insaisissable, à la fois intriguant et discret, ma langue habile peu parfois en dire beaucoup autant qu’elle peut se faire aussi silencieuse que la mort. J’aime user de mes charmes, jouant les grands princes à l’éducation distinguée. Mais ce n’est qu’une façade car je suis loin d’être le gentleman que je veux vous laisser voir. Poli et pleins d’attentions, j’aime séduire avec mes charmes naturels, vous envoutant de mon regard irréel. Je n’ai nul besoin d’user d’hypnotisme pour vous faire tomber dans mes filets. Je possède une assurance caractéristique des gens possédant un rang et un sang aussi élevés que le mien.
Je peux devenir bavard par moment et mon frère m’a souvent reproché cela, n’appréciant visiblement pas que je vienne harceler son esprit. Sous ce visage aimable se cache une créature sournoise, au sourire diabolique. Je ne laisse tomber les apparences que devant mon frère et ceux à qui je vais ôter la vie.
Malgré tout, le pire est encore à découvrir. Mon pouvoir est immense et mes colères ne connaissent pas de limites. Dans ces cas là, il vaut mieux ne pas rester en travers de mon chemin car vous n’y survivriez pas.
Vos relations avec les autres clans :
Très peu de personnes trouvent grâce à mes yeux. Les lycans sont nos ennemis naturels et je ne peux concevoir cette pseudo paix que certains ont tenté d’instaurer. Ce ne sont que des lâches qui fuient leur nature et les combats. Pour moi, les humains ne sont que de la nourriture et je ne me prive pas de me délecter de leur sang. Les vampires qui nous ont trahis… je les exterminerai et croyez moi, leur souffrance sera longue.
Bref vous l’aurez compris… Je n’aime pas grand monde.
Votre style de combat et votre arme:
J’ai eu le temps d’apprendre à maîtriser grand nombre d’armes durant ma longue existence et je peux dire, sans être prétentieux, que je le manipule à la perfection, connaissant leurs avantages mais aussi leurs défauts. Malgré tout, certaines restent mes privilégiés. La première est un sabre datant de l’ère Hakuchi dont le tranchant ne semble pas s’être altéré au cours des années. Il faut dire que j’entretiens bien ma lame et en prends soin. Le manche est en or massif recouvert d’arabesques du même métal.
Ma seconde et surtout dernière favorite est une lance à laquelle je peux faire parvenir un peu de mes pouvoirs psychiques. Elle s’entoure alors d’une flamme bleue singulière. La lame est très large et découpée de manière à se prolonger en deux pointes vers l’arrière. Je la manie avec une dextérité qui m’est propre.
Histoire :
Le silence. Ne me serais-je pas incrusté dans les parois de ma prison ? Ni air, ni lumière n’atteignaient cet endroit. Cela faisait longtemps que je ne pouvais plus bouger. Au début, il m’arrivait de tendre et détendre mes muscles mais je me demandais encore s’il était possible pour moi de renouveler cet exploit. Ils étaient maintenant bien au-delà du stade de l’atrophie. Les fibres musculaires s’étaient faites aussi fines que des cheveux. Privé de sang, dans cette cage scellée quelque part sous terre, mon corps n’était plus ce qu’il était par le passé. Mes cheveux avaient-ils encore la teinte écarlate qui me rendait si splendide jadis ? Mes paupières étaient closes. Je ne pouvais savoir si cela était vraiment le cas car même ouvertes, je ne pense pas que j’aurais été capable de voir la différence. Mais elles étaient probablement closes… Me permettant ainsi de voir de temps à autres des images. Le magnifique éclat émeraude qui rendait mon regard unique s’était plus que probablement éteint.
On m’avait trainé ici après l’avoir scellé lui. Je savais que le même sort m’était réservé mais il m’était impossible de m’y résigner. Malgré les liens et les entraves, je m’étais démené pour ne pas avoir à pénétrer dans cette prison. J’aurais sortit leur viscères de leurs corps si j’avais pu le faire. Ma rancœur à leur encontre était sans limite.
Un grincement strident perça mes ténèbres : mon imagination une nouvelle fois. La perte de présence de mon jumeau était un vrai supplice. Je ne captais ni ses pensées, ni son aura. Nos bourreaux n’avaient pas fait les choses à moitié en nous séparant. Je pense que mon frère se tient sans doute encore responsable de cette issue pourtant je ne lui en tiens absolument pas rigueur. Notre vie était assez longue comme cela et il n’y a rien que je ne puisse pas pardonner à mon double car il est à la fois mon présent, mon passé et mon futur.
Quelque chose vint toucher alors ma lèvre inférieure… Une goutte, puis deux suivies d’autres. Instinctivement, ma langue vint goutter cette chose qui semblait faire revivre chaque parcelle touchée. Du sang… Mes paupières s’ouvrirent alors pour constater que ma cage avait été ouverte et que le cadavre encore chaud d’une femme à la gorge tranchée gisait au dessus de moi. Animé alors d’une force que je pensais pourtant perdue, je me redressais pour planter profondément mes crocs dans la plaie béante, faisant exploser la trachée de la malheureuse dans mon entrain. Mes yeux reprenaient une teinte plus vive, délaissant le gris délavé pour une couleur plus sanglante. Quand plus une goutte ne vint à moi, je sortis complètement de ce tombeau qui n’était pas le mien pour découvrir d’autres humains incapables de bouger, mais encore bien vivants. Je fis craquer leur os, aspirant hors de leur corps jusqu’à la dernière goutte de vie qui les habitait, revitalisant mon âme en prenant la leur. Mon esprit s’éveillait à nouveau à tout ce qui se trouvait autour de moi, des pensées d’êtres vivants affluaient à mon cerveau mais il ne fallut que quelques secondes pour rétablir mes barrières psychiques longtemps délaissées.
Ayant retrouvé une certaine prestance, je me risquai à aller dehors. Je ne me préoccupais plus que d’une seule chose : retrouver mon frère. Peu importe qui m’avait libéré, ma seule priorité était de retrouvé celui avec qui je devenais invincible. L’air frais de la nuit m’étreignit. Qu’il était bon de redécouvrir ce genre de sensations dont j’avais été privé si longtemps. La soif me tenaillait encore mais elle était très supportable. Et surtout, cela n’était rien comparé aux décennies de privation que je venais de vivre. Mon regard se posa sur les arbres dont le feuillage s’agitait faiblement en raison de la brise. Le décor autour de moi semblait si changé mais je ne m’en préoccupais pas… Mon esprit était ailleurs, focalisé sur mon autre. Regardant la lune dans le ciel qui dessinait un croissant des plus éclatants, un sourire vint se loger sur mes lèvres. Mes pas me menaient vers lui car je l’avais retrouvé et ma marche se fit plus rapide au fur et à mesure que je sentais l’aura s’intensifier comme une flamme qui se ravive quand on jette de l’huile dessus.
Sa prison était en faite semblable à la mienne et il ne me fallut que peu de temps pour trouver l’entrée. Je m’enfonçais dans les boyaux souterrains pour finir par pousser une porte. Mes yeux émeraude se posèrent sur lui. J’étais heureux de pouvoir me présenter à lui sous un jour meilleur et non pas l’état pitoyable dans lequel je me trouvais précédemment. Même devant lui, lui qui me connaissait si bien, ma fierté me dictait de toujours montrer ma superbe. Ma chevelure sanguinolente semblait presque flotter de manière irréelle derrière moi alors que j’approchais. Mes bras se refermèrent autour de lui pour poser mes lèvres sur son front avec un soulagement que je ne lui cachais malgré tout pas.
Craignez la vengeance des frères Nergal car en nous enfermant, vous avez signé l’arrêt de mort de vos espèces respectives.
(N.B : Voir la fiche de Andras pour plus de détails)
Comment avez-vous connu le forum ? Je ne répondrais qu’en présence de mon avocat.
Votre présence : 9/10 pour la présence, pour les réponses je dirai 4/10
Votre moyenne de lignes par post : Cela dépend de la personne en face de moi. 30 lignes minimum en principe.
Un commentaire ?? Le premier qui ose dire « enfin » je l’étripe.
Mer 17 Fév - 10:32
