Treasach Ó Laighin

Nom:
Ó Laighin
Donné par mon créateur et dont je suis très fier.

Prénom:
Treasach,
Se prononce TRAS ach.
Signifie « belliqueux, fier ».
C’est de l’irlandais et, n’en doutez pas, il n’a pas été choisi au hasard.

Age Réel:
1523 ans

Age physique:
22 ans

Sexualité :
Homo, les femmes je trouve ça bien trop chiant et pas assez résistant.

Race:
Croqué

Clan:
Ó Laighin

Rang/Fonction :
Bras droit



Description physique:


Beau, voilà ce que je suis. Il émane de moi un petit côté sexy, sauvage et mystérieux ce qui fait que je passe rarement inaperçu. Bien que mon teint soit blafard mes traits sont fins et me donnent un air altier. Des cheveux noirs et soyeux encadrent un visage des plus plaisants et des mèches retombent en désordre ordonné sur mes yeux mordorés et hypnotiques. Rien ne leurs échappe et il y a toujours une petite pointe de malice qui les anime. Ils deviennent davantage éclatants lorsque je suis excité et rouges lorsque je me nourris. Des lèvres peu épaisses mais suaves donnent à ceux qui les regardent une irrésistible envie d’y gouter. Le sourire sous toutes ses formes a pris l’habitude de se dessiner sur mon visage, le rendant très expressif sans pour autant avoir de certitudes quant à ce que je pense.

Ma silhouette est élancée et je ne suis point trop musclé, ce qui ne fait pas de moi la créature la plus virile qui soit mais dont on se méfie tout de même. Ma taille fine et mes hanches sont un appel à l’obscénité mais je ne les fais voir qu’à très peu de personnes. Je me vêtis de manière élégante et classique, après tout je n’ai pas besoin de cela pour que l’on me remarque. J’ai les oreilles percées, une lubie de mon frère aîné.


Description psychologique:


Je suis plutôt quelqu’un de solitaire, je ne me mêle aux autres que pour me nourrir ou bien séduire. La plupart du temps je suis à l’extérieur de notre demeure, à me promener dans les bas fonds qui sont devenus notre lieu de résidence mais j'aime assez en sortir pour me rendre dans la forêt ou bien le parc par les nuits sans lune. J’apprécie ce silence, assis sur une des branches d’un grand arbre, pouvant me faire rester presque jusqu’à l’aube sans que je ne m’en rende compte. Tout ceci contraste avec ce que je laisse voir de moi aux autres et avec ce qu’ils s’imaginent que je sois.

Je ne suis un vampire de sang pur, mais je n'en reste pas moins fier et arrogant d'avoir été choisi par l'immortel au sang pur qu'est notre chef, je n’ai pas ma langue dans ma poche. Moqueur et véhément je sais là où ça fait mal et j’en abuse, ce qui m’a valu de nombreuses querelles, même avec les membres de notre clan. Calculateur je ne recule devant rien pour obtenir ce que je veux, je peux devenir aussi doux que le miel si j’estime que vous en valez la peine. Cependant cela ne reste qu’une façade, je reste un prédateur qui aime le sang et la luxure. Je n’hésiterais pas à vous prendre la vie si vous manquiez de respect à moi ou à mon clan. Lorsque je chasse, je m’amuse cruellement avec ma proie, la peur donne au sang un goût si exquis. Je suis également joueur et provocateur, si vous tomber entre mes mains il vous sera difficile d’en sortir.

Pour finir je ne puis parler de ma personne sans parler de mon clan. Il est tout pour moi, passe avant tout et mérite qu’on le protège, même s’il y a déjà Lorcan pour cela. Alors je vous mets en garde : réfléchissez bien à deux fois avant de vous en prendre à l’un d’entre nous.


Vos relations avec les autres clans:


Je tolère ceux qui ne sont pas de notre clan mais qui restent vampires, la paix actuelle n'est pas une raison valable pour ne pas répondre si l'on me provoque, surtout si je suis sur notre territoire.
Je hais les lycans, rien que d'en voir un ça me fait perdre le contrôle sur la bête qui grouille dans mes entrailles. C'est pourquoi je les évite.
Les humains ne sont là que pour nous permettre de boire, rien de plus.


Votre style de combat et votre arme:


Question de pratique et de discrétion je me bats avec deux dagues jumelles qui sont maintenues dans mon dos avec des liens. Je ne les sors que très rarement, mes attributs vampiriques me suffisant amplement pour régler les conflits en général. J'ai acquis beaucoup d'expérience au fil des siècles sans pour autant être un sang pur, c'est pour cela qu'il faut se méfier de moi.



Histoire:


Je fus conçu et suis né en l’an de grâce 1348, dans un petit village de l’Irlande, pays dévasté par les nombreuses guerres de pouvoir et qui l’était à présent par la peste noire, diminuant la population de moitié. Quatrième enfant de la famille, les premières années de ma vie furent des plus banales pour ceux de mon rang. Mère et Père faisaient partie de la noblesse, un lointain cousin du chef du clan majeur. Malgré leurs statuts, ils prenaient grand soin de moi, accompagnant mes premiers pas comme pouvait le faire des parents. Mes frères et sœurs naquirent avec peu d'intervalle et, bien que nous étions nombreux, nous ne manquions de rien. Il nous avaient été inculqués des valeurs et l'importance de la famille. Je crois que c'est la seule notion que j'ai gardé de mon humanité.

Les années se suivirent et se ressemblèrent, faisant de moi un jeune homme érudit puisque je passais beaucoup de temps à lire dans notre immense bibliothèque. Pourtant je ne manquais jamais une occasion de sortir de cette demeure trop bruyante dans laquelle j'avais de plus en plus l'impression de ne plus être à ma place. J'en profitais pour apprendre l'art du combat et de la guerre, celui de la chasse. Les heures s'écoulaient toujours beaucoup trop vite lorsque je me baladais dans la forêt. J'aimais cet endroit paisible et, sûr de ma jeunesse, je n'avais peur de rien.

Puis vint l'époque de l'adolescence, la découverte de son corps et de celui des autres, le jeu de la séduction, les plaisirs charnels. Je passais ainsi toutes mes nuits dehors, à trainer dans les tavernes à la recherche de la personne qui pourrait me faire oublier un instant qui j'étais et la monotonie de l'existence qu'était la mienne. Il m'était assez difficile d'assouvir mon penchant flagrant avec les hommes vu mon époque et il m'arrivait parfois de me servir des femmes. Mais une fois que la jouissance était atteinte, le retour à la réalité n'était que plus rude. Je rentrais alors dans notre demeure pour ne dormir que quelques heures, observant silencieusement mon visage qui ne laissait personne indifférent dans le miroir avant d'aller me coucher.

Deux de mes frères moururent l'été de mes vingt-deux ans sur le champs de bataille et, en tant qu'aîné, il fut décidé que je devais me marier pour assurer une descendance à notre nom. La nuit même je partais pour le front, regagnant notre capitale afin de me manifester auprès des chefs militaires. Je n'étais pas particulièrement dévoué à mon pays, aucune noble pensée, aucun feu ardent ne m'habitait mais je connaissais l'art de le guerre. Les horreurs que je vis avaient de quoi désespérer n'importe quel homme et pourtant moi je restais insensible à tout cela, me jetant dans les combats à corps perdu, comme si j'attendais que la mort finisse par m'emporter.

Ce fut une nuit de pleine lune que je croisais sa route. Je me tenais là, des corps sans vie jonchant le sol pour y verser tout ce sang qui ne servirait plus à rien dorénavant. Mes muscles se faisaient douloureux et mon souffle un peu court, je n'avais aucune idée de la durée de cette bataille mais elle avait commencé avec les derniers rayons du soleil couchant et l'astre de nuit était à présent haut et rond dans le ciel. De là où je me trouvais je ne pouvais voir que ces deux prunelles rouges et cette longue chevelure aussi sombre que la nuit flotter au vent. Mes doigts meurtris serrèrent davantage mon épée qui me semblait si lourde. Je savais, en croisant cet étrange regard, que ma vie s'arrêterait ici et, malgré tout, je ne comptais pas baisser les armes, jusqu'à la fin. Beaucoup auraient été effrayés par cette aura, cette froideur, ces prunelles plus rouges que la couleur du sang, oui beaucoup auraient fui. Or, moi, j'étais subjugué par leur éclat. Je sentais chez cet être une solitude qui faisait écho à la mienne. Alors soit, il ne pouvait sans doute y avoir plus belle mort que celle-ci. Résolu, je m'élançais droit sur lui.

Lorsque je me réveillais, une douleur atroce traversait mon corps qui se tendait à intervalles irréguliers. Une impression insoutenable que la vie me quittait sans que je ne pus rien y faire. Impuissant et en colère, j'étais surtout trop fier pour ne serait-ce que verser une larme. N'était-ce pas là le privilège de ceux qui avait des regrets? Qui étaient attachés à leur existence? Je n'avais rien de tel. Ensuite j'eus l'impression d'entendre une voix qui m'ordonnait d'arrêter de geindre. Plus aucune force ne me permettait de répondre à cet affront bien que mes lèvres s'entre-ouvrirent dans ce sens. Une goutte d'un liquide épais vint tomber sur ma bouche. Quelle substance étrange! Une goutte. Puis une autre. Je n'aurais su dire ce que c'était mais cela éveilla des pulsions que je ne maitrisais pas. Une soif incontrôlable qui me fit me jeter sur le poignet d'où provenait ce liquide irrésistible, sans pour autant comprendre qu'il s'agissait d'un poignet et de sang.

Ce ne fut que lorsque le propriétaire du poignet tira dessus que je reprenais conscience, levant mes yeux sur lui. Quelle surprise de voir qu'il se tenait à nouveau devant moi. Je n'eus cependant pas le temps de m'attarder qu'il m'ordonna de le suivre et ce fut à cet instant que je compris que je ne ferai jamais que cela. Durant le voyage qui nous mena au Japon, pays dans lequel la guerre contre les lycans faisait rage, j'appris mon nouvel état et tout ce que je devais savoir à ce sujet. Mes traits n'avaient pas changé, mon statut leurs donnant tout de même une beauté irréelle. Seules mes prunelles avaient troqué la couleur verte pour un doré des plus purs.

Enfin passons sur le reste de mon histoire mais elle est, depuis le jour de ma renaissance, étroitement liée au clan Ó Laighin et à son chef. Bien qu'à présent je ne sois plus le seul à porter son nom, mais... Tout cela est une autre histoire.



Comment avez-vous connu le forum ?
J'y suis déjà.

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5/10

Votre moyenne de lignes par post :
Une trentaine, ça dépend.

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I will survive?